Le blog de Löngre

C'est avec beaucoup de tristesse que j'écris ce petit mot pour mon beau Symba, une gerbille unique de par son caractère qui me faisait beaucoup penser à ma Missy tellement folledingue... Et pour le beau Charleaston alias Godzilla.

Un fou furieux gouteur de doigts surtout ceux qu'il n'aimait pas, il adorait faire le fou et se retrouver dans des situations improbables, il aimait chasser les rates et c'est lui qui faisait la loi, un amateur de roue à en crever et aussi au passage empêcher les autres de dormir s'ils avaient le malheur de dormir dans la même pièce, un aventurier, un curieux et sociable un beau lilac Sp qui va nous manquer à sa petite tribu qu'il a laissé derrière lui, à moi et à tous ceux qui en râlant étaient bien contents de profiter de ses bêtises.

Symba c'était l'histoire d' un coup de coeur, l'histoire d'un colori recherché pendant longtemps, l'histoire d'une bonne surprise au détour d'un chemin, l'histoire d'une rencontre, d'une après midi et surtout du hazard, le petit simba vennait tout droit de Lyon, avec son frangin Fendy, deux beaux louloux que j'ai ramené dans mes bagages, deux futurs papa' que j'avais décidé un jour me feraient les plus beaux bébés pour concurrencer Ardoise et Loukhoum que j'avais perdu trop tôt...

Mais malheureusement je les ai voulu peut être un peu trop proches car Symba sera parti comme Loukhoum après la mise bas de sa femelle. Je suis triste de ne pas l'avoir vu éduquer ses bibounets, je suis triste qu'il soit parti si tôt, sans avant signe, il n'était pas fait pour mourir si rapidement, mais le stress l'a emporté sans prévenir.

Symba petit speedy gonzalez était une gerbille fatiguante voir exaspérante par moment, une gerbille que l'on ne pouvait pas oublier car trop chiante à vivre tous les jours mais tellement épanoui et active que l'on se demandait comment un si petit être pouvait avoir autant d'energie à revendre.

Symba c'était le ridicule qui ne tue pas, et les gros foux rire en racontant ses mésaventures.

Symba c'était aussi Fendy et tous les appelaient les Lyonnais, qu'il soit parti c'esr bizarre c'est comme si on était condamné à dire Bonnie sans Clyde ou Hansel sans Gretel ou Jack sans Jill et c'est donc avec beaucoup de tristesse que je regarde Fendy désormais sans son copain et les filles sans leur z'homme, les bébounets sans leur papounet, c'est vraiment dommage...

Il fait désormais voyage vers le paradis gerbillesque en route avec mon autre chouchou qu'était Charleaston, 

Charleaston lui, c'est une histoire différente, un coup de coeur certes, mais surtout un petit sourir de côté et plein de papouilles à mon petit hamster comme qu'ils disaient tous à côté de moi, une sublime gerbille schimmel que personne n'a voulu regarder de près pour voir la beauté qui se cachait sous les grammes, cette pauvre gerbounette avait vécut une vie type d'hamster et il en a toujours gardé quelques tic, mais une fois avec son copain Fantasia, il a su prendre le plu de la gerbille et c'était lui qui donnait le la du nettoyage dans la terre à bain et de la fabrication du nid, une gerbille en devenir qui n'attendait que d'être exprimée, une sublime couleur schimmel qui n'attendait que d'être en mue après une nourriture et un rythme de gerbille équilibrée. 

Charleaston fera le chemin avec Symba, de même qu'il a fait le chemin droit vers chez moi depuis la Région rhone alpes également, comme quoi, faut croire que leur destin était semblable que leurs caractères.

charleaston c'était le calme parfait, le contraite de symba, une gerbille douce, qui aimait sa petite gratouille sur la tête qui aimait sa routine de gerbille tranquille, faire dodo dans le nid avec son copain, faire tout plein de léchouilles de calinoux et dormir. Mais sa passion dans vie, c'était la bouffe.

Quand il est arrivé, c'était un hamster avec une queue de gerbille mais il a rapidement perdu du poids et sera devenu une gerbille magnifique.

Fantasia manquera aussi son copain de nid qui le chercher depuis hier en ne comprenant pas ce qu'il s'est passé et où il s'en est allé, c'est tellement triste de les voir parfois si perdus sans leur copain de vie.