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29 janvier 2008 2 29 /01 /janvier /2008 15:13



N’a petite boule de poils

Encore ! encore !

Mais t’en as déjà plein

Oui, mais c’est différent, c’est plus petit et puis c’est pas aussi chiant !

Ça reste des petites boules de poils !

Oui, mais on a pas les mêmes plaisirs, c’est beaucoup plus amusant de marcher dans la merde de son animal et de sentir que ça pue dans tout l’appart, d’avoir tout plein de vêtements troués et des chaussures défoncées, c’est des moments intenses de plaisir pur que l’on a pas avec les autres bibilles !

Oui, ce que tu veux, c’est des emmerdes, parce que tu n’as pas déjà assez pour t’occuper ?

Ce que je veux, c’est un animal qui te rend ton amour J

 

 

N’a petite boule de poils

Que j’aime

 

N’a petite boule de poils qui ne le sera plus d’ici quelques années,

N’a grande puissance de poils bientôt.

 

Dans tous les cas, n’amour d’animal.

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19 janvier 2008 6 19 /01 /janvier /2008 19:42

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18 janvier 2008 5 18 /01 /janvier /2008 09:23

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        Comme tout ce qui arrive dans une vie, il y a du bien et du mal dans toutes nos actions, comme un effet domino, que l’on agisse pour le bien ou pour le mal, il y a toujours des effets secondaires à ce que l’on a fait, et le plus ambigu, c’est que ce n’est pas toujours corrélé entre eux. De même pour tout ce qui se passe dans la vie, il arrive que des personnes tout à fait sympathiques et généreuses connaissent des moments affreux et qu’inversement, certaines personnes malintentionnées voient tous leurs désirs réalisés.
        Certains disent que la vie prendra sa revanche à un moment quelconque, que tout le monde connaitra le revers de la médaille, que ce soit le bon ou le mauvais coté.
Mais est-ce que vraiment on peut y croire, ou tout n’est qu’une suite d’événements qui nous paraissent sans sens parce que ce ne sont que des pièces d’un puzzle tellement grand que l’on n’en verra pas la fin de notre vivant ?

        Ou est-ce seulement une suite de hasards qui en réalité ne sont que des conséquences infortunées ? Mais dans ce cas, à quoi servent toutes nos croyances ? À quoi bon croire, s’il n’y a pas de raison, si tout n’est que malchance ? Cela ne peut être, l’homme n’est pas arrivé sur terre par un hasard unique, par une alchimie galactique miraculeuse, l’homme a une raison d’avoir vu la vie, et tout homme qui nait peut se fixer un but pour sa vie, une façon de justifier son existence. Il n’y a pas forcement le destin, comme on se le représente, comme un grand parchemin où toutes les existences seraient déjà toutes tracées... mais ce n’est pas non plus un chaos immense où l’on se laisse porter par les vagues de la vie. On décide où l’on veut aller, et si on ne peut pas, il nous reste toujours le choix du chemin à empreinter pour y arriver.
on ne devrait pas croire, ne serait-ce une seconde que n'avons plus de choix, parce que c'est peut-être avec l'amour la seule chance qui nous reste dans notre vie.

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13 janvier 2008 7 13 /01 /janvier /2008 18:27



Tristesse, tristesse…

Surement l’un des thèmes les plus repris dans la littérature de n’importe quel pays, encore que je pense pouvoir affirmer que les français et les anglo-saxons ne sont pas les plus mauvais :

                         La douleur de l’amour

Parce que oui, aimer c’est bien joli, cela fait voir la vie en rose, permet de flotter dans son petit nuage, de se réfugier dans un monde qui parait tout de coton sans angle-morts, semble rimer avec bonheur, passion, joie, baisers, fusion et autres mots clés du monde amoureux.


Mais pourtant, on ne pourrait nier que cela se résume à cela.

Il y a incontestablement le revers de la pièce, il y a le monde de tristesse, de chagrin, de nostalgie, dans certains cas, de blessures profondes, de mort lente pouvant aller jusqu’à la haine et la vengeance…

   Une partie de ce monde qui parait idéal est donc la tristesse, la tristesse d’être loin de la personne que l’on aime, la tristesse de ne pas pouvoir la protéger comme on aimerait, la tristesse de ne pas pouvoir se déclarer à elle, ou de se séparer d’elle, de se sentir abandonné, de se sentir trahi et j’en passe.

   On ne peut en mettre une en sommet des autres, car en fonction de si on est en pleine expérimentation, notre cas paraît être le suprême de la liste.

Quant à la douleur due à la distance… on dit aussi bien qu’elle ne fait qu’attiser les liens, redonner un souffle à la relation, créer une sorte d’attente puissante, une sorte de fantasme, de fin en soi comme on dit qu’elle conduit à la fin des belles romances, parce que loin des yeux loin du cœur etc.

Il n’y a aucun remède aux maux du cœur, en tout cas, aucun à court terme.



Si l’on n’est plus très sure de tout cela, si la distance s’en mêle, doit-on prendre cela comme une épreuve d’où découlera la véritable identité de cette relation, ou comme un signe du destin nous clamant que ce n’est pas la bonne personne et qu’il ne faut pas gâcher le peu de temps en cette courte vie ?

Comment atténuer son chagrin du à la distance, car si elle n’est pas imparcourable, elle reste un monde pour les câlins, les baisers, ces simples regards fusionnels et le son de la voix des amoureux.


Si quelqu’un depuis deux-mille ans d’existence à proposé une solution autre que de prendre un amant, je serais heureuse de la connaître.
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13 janvier 2008 7 13 /01 /janvier /2008 18:26

Tristesse, tristesse…

Surement l’un des thèmes les plus repris dans la littérature de n’importe quel pays, encore que je pense pouvoir affirmer que les français et les anglo-saxons ne sont pas les plus mauvais :

La douleur de l’amour

Parce que oui, aimer c’est bien joli, cela fait voir la vie en rose, permet de flotter dans son petit nuage, de se réfugier dans un monde qui parait tout de coton sans angle-morts, semble rimer avec bonheur, passion, joie, baisers, fusion et autres mots clés du monde amoureux.

Mais pourtant, on ne pourrait nier que cela se résume à cela.

Il y a incontestablement le revers de la pièce, il y a le monde de tristesse, de chagrin, de nostalgie, dans certains cas, de blessures profondes, de mort lente pouvant aller jusqu’à la haine et la vengeance…

Une partie de ce monde qui parait idéal est donc la tristesse, la tristesse d’être loin de la personne que l’on aime, la tristesse de ne pas pouvoir la protéger comme on aimerait, la tristesse de ne pas pouvoir se déclarer à elle, ou de se séparer d’elle, de se sentir abandonné, de se sentir trahi et j’en passe.

On ne peut en mettre une en sommet des autres, car en fonction de si on est en pleine expérimentation, notre cas paraît être le suprême de la liste.

Quant à la douleur due à la distance… on dit aussi bien qu’elle ne fait qu’attiser les liens, redonner un souffle à la relation, créer une sorte d’attente puissante, une sorte de fantasme, de fin en soi comme on dit qu’elle conduit à la fin des belles romances, parce que loin des yeux loin du cœur etc.

Il n’y a aucun remède aux maux du cœur, en tout cas, aucun à court terme.

Si l’on n’est plus très sure de tout cela, si la distance s’en mêle, doit-on prendre cela comme une épreuve d’où découlera la véritable identité de cette relation, ou comme un signe du destin nous clamant que ce n’est pas la bonne personne et qu’il ne faut pas gâcher le peu de temps en cette courte vie ?

Comment atténuer son chagrin du à la distance, car si elle n’est pas imparcourable, elle reste un monde pour les câlins, les baisers, ces simples regards fusionnels et le son de la voix des amoureux.

Si quelqu’un depuis deux-mille ans d’existence à proposé une solution autre que de prendre un amant, je serais heureuse de la connaître.

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9 janvier 2008 3 09 /01 /janvier /2008 16:20

 

"Celui qui dit un mensonge ne prévoit point le travail qu'il entreprend ; car il faudra qu'il en invente mille autres pour soutenir le premier."
(Alexander Pope)

"le mensonge est l'abc de la trahison"
(Romain Guilleaumes)


"je me fais plus de tort en mentant que je n'en fais à celui à qui je mens"
(Montaigne)


"Un mensonge ne peut jamais être effacé. Même la vérité n'y suffit pas."
(Paul Auster)

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9 janvier 2008 3 09 /01 /janvier /2008 14:52

 

 

Je ne pensais pas que cela pouvait être si douloureux…

Lorsque l’on se sent trahi, c’est comme si l’on nous prouvait qu’une partie de notre âme est pourrie… On se demande comment on a pu mettre tous nos espoirs et toute notre confiance en quelqu’un. Qu’est ce que ressent un père lorsqu’il est trahi par son fils ? Cela doit être horrible parce que c’est la même famille. Mais lorsque c’est quelqu’un que l’on aime, cela n’est-il justement pas pire, parce que au contraire de la famille, les amis et les amours, ce sont nos propres choix. Et si une personne qui est entrée dans notre vie et à qui nous avons fait confiance, vient à la trahir, on ne peut s’en prendre qu’à nous même.

C’est bizarre comme sensation, sur le coup, on peut le dire, ça un énorme effet de surprise, puis on a envie de se mettre en colère très fort, mais finalement, on y arrive pas, on est tellement pris au dépourvu, puis la tristesse arrive et s’installe et à chaque fois que l’on y repense, cela fait si mal, on peut s’empêcher de pleurer.

Et je crois que malheureusement, il n’y a aucun remède, c’est comme une vaisselle, une fois fêlée, on ne peut la réparer. Un jour elle sera ébréchée pour ultimement se casser. On ne peut pas réparer les fêlures, il faut attendre la casse pour voir si c’est récupérable.

Mais qui peut vivre fêlé avec pour seules perspectives l’ébréchure puis la casse ?

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8 janvier 2008 2 08 /01 /janvier /2008 18:52
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Je tenais seulement à dire à dieu à mes sublimes bibilles birmanes, que je n’ai même pas pu tenir dans ma main avant de les voir partir^^
¤¤¤Snif¤¤¤
Ces petites boules de poils jumelles physiquement sont les plus beaux bébés que Speedy et Belles ne m’aient offerts.
L’une était timide et paresseuse tandis que l’autre étaient curieuse et sportive^^
Elles faisaient de très beaux sujets pour des photos portraits.
Vous me manquerez et j’espère bien que mon couple reproducteur donnera bientôt vie à des merveilles pareilles.
Plein de pensées pour votre nouvelle vie et ne grignotez pas trop, c’est mauvais pour la ligne de modèle que vous avez.

Je vous aime fort fort.

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5 janvier 2008 6 05 /01 /janvier /2008 19:53

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Et voila, ma dernière soirée à Paris est arrivée… Je me sens si vide… C’est étrange à quel point je me suis attachée à cette ville, après tout, ce n’est même pas ici que je suis née. Juste quelques souvenirs, mais assez pour donner envie de pleurer. Si on fait appel aux souvenirs, est-ce que cela ne signifie pas que c’est fini, que c'est quelque chose que l’on a laissé derrière soi ?
DSCF0025.JPGDSCF0034.JPG

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3 janvier 2008 4 03 /01 /janvier /2008 23:48
100-0666.JPGundefinedIl flotte dans l’air comme un parfum de nostalgie, lorsque face aux vitrines de Noël des Grands Magasins je me promenais ce soir, en me demandant si j’étais condamnée à toujours avoir un temps de retard. Est-ce que c’est la même chose pour ma vie, suis-je sans cesse en retard par rapport au monde dans le lequel j’évolue et qui semble tenir un calendrier on ne peut plus pointilleux. Cela fait déjà un an que Paris avait revêtit ses belles lumières de Noël, et même si cela ne fait que quelques mois que je n’y suis plus, c’est tout comme s’il y avait eu un bond. Est-ce vrai que l’on ne regrette sa famille que lorsqu’elle est partie, est-ce vrai que l’on ne se rend compte de la valeur qu’avait certaines personnes qu’une fois qu’elles ont quitté ce monde ? En est-il de même pour tout dans la vie…

Cela fait plus d’un an, que je n’avais pas fait le tour des boutiques sur Haussmann et cela m’a paru soudain tellement loin… une bouffée de tristesse et de nostalgie est montée doucement mais si surement en moi, jusqu’à ce qu’elle atteigne mon cœur en plein centre… C’est sans doute lamentable de se sentir si vulnérable à cause de simples souvenirs et d’en avoir presque les larmes aux yeux, mais je n’y puis rien.

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